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Marius MM 
 

Résumé : 

 

Marius MM est né à Bordeaux en 1993.

Il sautille de monticule en monticule et becte les curiosités des nuages et des pommes tombées à terre. Fils de son époque, il agit pour que les murs ne s'élèvent pas plus haut que les envols.

Jardinier est utilisateur autodidacte de la peinture, des pierres et des mots, son travail est sans thématique définie. Avec l'arrière de ses yeux, il aborde et traduit la part profane du monde qu'il retient.

Ses inspirations se rattachent aux natures, aux choses communes et dans les arts singuliers.

Depuis 2008, entre l'itinérance et le statique, ses dessins et ses fresques mixtes font quotidiennement leurs chemins d'atelier en atelier qu'il utilise en Gironde.

 

Plus en détail : 

 

La fresque mixte, le dessin, l’écriture et la peinture sur pierre forment la matière de sa mythologie personnelle.

Creuser les émotions dans le vivant, puiser dans l'état d'âme et le ressenti.

Une démarche façonnée par les mondes et leurs histoires.

Ses langages élémentaires s'animent par l'usage, avec une source d'inspiration simple et spontanée qui s'exerce d'elle-même. 

Franche et plurielle, sa peinture est un dialogue, comme un gage de ralliement à l'humanité. L'œil dans la main, il ne cherche ni l'efficacité ni la performance.

Conteur profane et intime, aucune thématique ne s'attribue à ses créations. 

La réalité vécue est déjà une oeuvre surréaliste, dont la nature est le miracle le plus étudié scientifiquement. Une réalité dont l'amour n'a pas de définition et dont les émotions s'apaisent avec le crépitement d'un feu. Surréaliste comme les étoiles scintillantes au ciel qui ne sont que des lumières mortes.

Fils de son époque, ses travaux s'adressent à tout le monde, sans distinction culturelle ni générationnelle.

Depuis 2008, ses carnets se remplissent dans les bus allant vers le Centre de formation des Apprenti.es en Gironde, où il mène ses études par apprentissage durant 10 ans.
La régularité et la sincérité de son travail se poursuit par-delà les aller-retour longs et pénibles, dans les fêtes, les salles d'attentes, les cafés, les places publiques.

La relation avec l'extérieur s'intronise d'elle-même lorsque des rencontres curieuses et étrangères, viennent échanger leurs regards, leurs mémoires et leurs sensibilités sur ses travaux.

 

En 2013, il perd son porto-folio avec environs deux-cent dessins à l'intérieur, dans un tram en centre-ville de Bordeaux. Renouvellement. 

Le 11 novembre de cette même année, il décide de goûter à une voie nouvelle dans sa démarche artistique : la peinture mixte, à l'extérieur d'abord puis dans divers espaces dédiés.
 

Passant des carnets à des supports plus grands en contreplaqué et en toile, le pinceau est un médium qu'il apprivoise progressivement, a sa manière de vivre au monde.

Les peintures, elles au moins, ne peuvent pas facilement être oubliées dans un tramway entre deux sièges… même si c’est la vie…

 

La nécessité de trouver un atelier s'organise progressivement en parallèle à ses études d'apprenti jardinier. 

Depuis 2017 jusqu'à actuellement, des expositions et festivals entre Bordeaux, la Dordogne et la Charente-Maritime voient le jour. 

La période du COVID-19 est une période de concentration pour ses créations qu’il poursuit jusqu’à aujourd’hui. 

Il édite un recueil de songes "Les oiseaux flottent" en Mars 2024 avec la Cie Robinson et prévoit de continuer ses ouvrages, restant ouvert aux diverses sollicitations artistiques et sensibles menées par des ami.es peintres, plasticienn.es, sculpteurs, photographes, engagé.es auprès d'une voie sincère et poétique. 

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